Pour cette émission spéciale consacrée au tournoi de tennis de Roland-Garros 2012, qui se déroule du 22 mai au 10 juin à Paris, Michel Drucker reçoit Jean Gachassin (président de la Fédération française de Tennis), Véronique Sanson, Michel Fugain, Francis Perrin, Nolwenn Leroy, Jean-Loup Dabadie. L'émission est agrémentée d'interviews de Michaël Llodra, Julien Benneteau, Jo-Wilfried Tsonga, Gaël Monfils et Björn Borg.
Interview
40 ans, pratiquement jour pour jour, après son premier Olympia en 1972, Stivell revisite son répertoire avec les artistes de la première heure, et ceux de la plus jeune génération comme Nolwenn Leroy. Un concert mémorable ponctué par des interviews de l'artiste, et des séquences coulisses inédites.
Alan Stivell a inscrit le renouveau de la musique celtique dans le marché global. Il en a également revisité les classiques, comme l'arrangement du fameux "Tri Martolod" qu'il joua il y a 40 ans sur la scène de l'Olympia, et que reprend à son tour Nolwenn Leroy avec le succès que l'on connaît.
À cette époque, Stivell porte le flambeau de la culture celtique, affirmant fermement l'identité bretonne. Premier à jouer le plinn et la gavotte avec les instruments du rock, il sort la tradition de son ghetto. Le mouvement folk lui emboîte le pas, et sa carrière est propulsée vers les sommets.
Comment cette passion est-elle née ? Qu'est-ce qui la guide ? À travers de nombreuses archives et rencontres (Dan Ar Braz, Jim Kerr, Youssou N'Dour...) embrassant son œuvre autant que son contexte, le film éclaire la trajectoire d'un petit Breton de Paris voué à la musique dès l'âge de 9 ans, et nous plonge dans l'univers d'un artiste hors norme, dont la trace marquera l'histoire des musiques du monde.
Source : bretagne.france3.fr.
Présentation des invités
Salut final
Tri Martolod en duo avec Alan Stivell (Francofolies de La Rochelle)
Interview
À l'origine, « le Grand Tour » était un long voyage initiatique à travers l'Europe, entrepris par les artistes et les jeunes aristocrates pour approfondir leurs connaissances en matière d'art, d'histoire et de culture. Patrick de Carolis s'inspire de cette démarche et part à la rencontre de personnages emblématiques. A Naples, il s'entretient notamment avec Philippe Jaroussky, à Bahreïn, il s'intérese à Frédéric Lenoir, avant de rejoindre Édimbourg, où il retrouve la chanteuse française Nolwenn Leroy et l'écrivain Ian Rankin. Patrick de Carolis conclut son voyage à New York, en compagnie de l'actrice américaine Whoopi Goldberg, puis de la comédienne française Barbara Schulz, ou encore de Diane Laurenson, professeur de danse.
Le concept du « Grand Tour » : pour chaque grande séquence du film, Patrick de Carolis part à la rencontre, dans un endroit donné, de différentes personnalités avec lesquelles il initie un dialogue permettant d'approfondir un nouvel aspect de l'histoire en question.
Nolwenn à Édimbourg
Une nouvelle fois, Patrick Sébastien et son équipe convient les téléspectateurs à vivre de grands moments de nostalgie. Comme à son accoutumée, l'animateur veille à ce que la bonne humeur soit au cœur de l'émission. L'intervention de nombreux chanteurs, imitateurs et humoristes permettent en effet de ponctuer «Les années bonheur» d'anecdotes savoureuses, de petits secrets et de souvenirs heureux. Une soirée en compagnie du Collectif métissé et de Nicole Croisille, Félix Gray, Percy Sledge, Opus, Roberto Alagna, Patrick Hernandez, les frères Nacash, Nolwenn Leroy, Claude Barzotti, Ycare, Nana Mouskouri, Lénou, Elisa Tovati, Elmer Food Beat, Corinne Hermès et Didier Barbelivien.
Moonlight Shadow
Pour la huitième édition de «La chanson de l'année», Nikos Aliagas accueille, au Palais des sports, les artistes plébiscités par le public. Les chansons en compétition sont : «J'aimerais trop» de Keen'V, «Demain» de Thomas Dutronc, «L'horloge tourne» de Mickaël Miro, «Aurélie» de Colonel Reyel, «Il nous faut» d'Elisa Tovati et Tom Dice, «French Cancan» d'Inna Modja, «Politiquement correct» de Bénabar, des extraits de «Dracula», «Le jour et la nuit» d'Alain Souchon, «Laisse tomber tes problèmes» du Collectif métissé, «Hôtel des Caravelles» de Julien Clerc, «Un peu de blues» de Christophe Maé, «L'écho des dimanches» de Patrick Fiori et Zucchero, «Cool» de Christophe Willem, un extrait d'«Adam et Eve», «En apesanteur» de Shy'm, «L'amour fou» de Jenifer, «Jeanne» de Laurent Voulzy, «Tri Martolod» de Nolwenn Leroy, «Mon vieux» des Prêtres.
Tri Martolod
Hommage à Michel Berger en duo avec Christophe Willem